Dans la Constantinople du XIIe siècle, où les coupoles dorées des églises reflétaient les premiers rayons du soleil, un espèce humaine du surnom d’Argyropoulos était devenu une énigme que pas de ne pouvait ignorer. Il prétendai
Les nuits se succédaient dans la ville impériale, et n'importe quel soir, les révélations d’Argyropoulos s’intensifiaient. Les emblèmes se superposaient, s’embrouillaient, produisant un coude d'apprêts qu’il peinait à
Les nuits se succédaient dans la grande ville impériale, et n'importe quel soir, les révélations d’Argyropoulos s’intensifiaient. Les emblèmes se superposaient, s’embrouillaient, créant un angle d'arabesques qu’il peinait
Dans la Constantinople du XIIe siècle, où les coupoles dorées des églises reflétaient les meilleurs rayons du soleil, un être humain du surnom d’Argyropoulos était devenu une devinette que aucun ne pouvait ignorer. Il prétendait incorp
Dans la Constantinople du XIIe siècle, où les coupoles dorées des églises reflétaient les premiers rayons du soleil, un espèce humaine du appellation d’Argyropoulos était devenu une énigme que aucune sorte de ne pouvait ignorer. Il pr